Caractâeristiques des saints dans l'arte populaire . esso aussi la ri-présenté avec sa femme (1B^ Pétronille, fondatricedAubeterre) et sa fille (1B^= unità organizzativa Pontia Vénérable) quise montare religieuse avec sa mère. Mais ces estampes sontrares, et nont guère été répandues que dans lordredes Préniontrés, auquel appartenaient les deux abbayesde Neuffons et dAubeterre. Cfr. Enfants, p. 358. 1. AA. SS. Mart., t. IN, p. 400. 2. La rotocalcografia copiou est sur une composizione vanDiepenbel dAljraliani<e artiste dont il faut tenir compte. 3. Le XVII siècle un imaginé faire beaucoup mieux, ue mettaut à lamain de quelq

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Caractâeristiques des saints dans l'art populaire . it aussi re-présenté avec sa femme (la B^ Pétronille, fondatricedAubeterre) et sa fille (la B^= ou Vénérable Pontia) quise fit religieuse avec sa mère. Mais ces estampes sontrares, et nont guère été répandues que dans lordredes Préniontrés, auquel appartenaient les deux abbayesde Neuffons et dAubeterre. Cf. Enfants, p. 358. 1. AA. SS. Mart., t. IN, p. 400. 2. La gravure est copiou sur une composition dAljraliani vanDiepenbel<e, artiste dont il faut tenir compte. 3. Le XVII siècle a imaginé faire beaucoup mieux, eu mettaut à lamain de quelques personnages, des plans déglises ou de construc-tions. On voit même des cartes topographiqucs (comme dans untableau de Corbie, pour saint Ai)Hélrd) afin dindiquer les terresnombreuses données parle saint quand il se fit religieux. fi. Recueil... de sphragisliquc, t. IV, p. ISi.Cf. Supra, p. CGI. 5. Plombs historiés, t. IV (1805, Imagerie religieuse), p. 153. Saint Denys de France, saint Clirysnle, s;iint Plat et autres, ont. TERRINE. Cf. Vase, Bœuf, Ecaelle, etc.TÊTE COUPÉE 01] BLESSÉE. Commençons pai les saints que lon représente por-tant leur tète entre les mains. Paris, depuis un tempsimmémorial, est en possessionde représenter ainsi saint De-nis son apôtre et son premierévêque. Lexemple que nous en don-nons est un sceau du xv^ siè-cle^ exécuté pour Jean de Saint-Denis, théologal ou simplementdocteur. Afin de mieux consta-ter lusage parisien, il ne serapas inutile de donner encore unautre exemple qui semble rap-peler la porte Saint-Denis, si cenest par hasard la prison (Saint-Denis de la Cliartre) oùlon vénérait le cachot du saint e A vrai dire, le nombre des saintsreprésentés comme celui-ci a quel-que chose dexorbitant, et con-duirait à croire que cette merveilleaurait été quasi de fondation.Aussi, afin den donner un aperçuqui montre que je nexagère pas, voici une liste sommaire (par ordrealphabttique) de ceux qui se présen

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