. Dictionnaire de physiologie. Fisiologia. La deglutizione. 735. FiG. 89. Â7. Dt'glutition d'une massa semi-liquide. Le tracé supé- rieur provient du pliarynx, l'inférieur est obtenu au moyen d'onu ballon enfoncé à 12 centimètres. La deuxième élévation provient de restes alimentaires renvoyés par le faringe. est imputabili à l'azione des constricteurs du pliarynx. Ce mode de progression du bol appartient aussi aux déglutitions isolées; mais il est incomparablement plus accusé dans les déglutitions associées. Â" (p. 2o2) Arloing croit donc que la preniitre élévation du tracé que nous

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. Dictionnaire de physiologie. Physiology. DEGLUTITION. 735. FiG. 89. â7. Dt'glutition d'une masse semi-liquide. Le tracé supé- rieur provient du pliarynx, l'inférieur est obtenu au moyen d'un ballon enfoncé à 12 centimètres. La deuxième élévation provient de restes alimentaires renvoyés par le pharynx. est imputable à l'action des constricteurs du pliarynx. Ce mode de progression du bol appartient aussi aux déglutitions isolées; mais il est incomparablement plus accusé dans les déglutitions associées. » (p. 2o2) Arloing croit donc que la preniitre élévation du tracé que nous avons attribuée au passage même du bol, envoyé directement de la base de la langue au cardia, est causée par la contraction pharyngienne. Nos tracés (voir flg. 88, 2 et 3) démontrent cependant que cette première élévation se voit, même quand on étudie la partie inférieure de l'Åso- phage, tandis que la contraction du pharynx, plus tardive, n'existe que dans le cas oii le sujet avale, au lieu d'une masse liquide, une masse semi-liquide. Dans ce dernier cas (flg. 89 et 90), si l'on con- sidère le tracé Åsophagien, on y trouve deux élévations au dé- but, avant la longue contrac- tion. Le premier sommet (à droite) a la même origine que quand il s'agit de liquides ; il indique le passage de matières alimentaires rejelées par la ra- cine de lii langue; le deuxième sommet correspond au passage des matières qui, étant restées adhérentes aux parois du pha- rynx, sont rejetées par les mus- cles de celui-ci. Cette deuxième contraction est plus lente que la première; car, quoique les constricteurs soient également striés, leur mouvement est loin d'avoir la rapidité des muscles linguaux. La muscula- ture du pharynx n'est pas indispensable pour 'la déglutition. Meltzer l'a démontré directement en sectionnant les muscles constricteurs moyen et infé

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