Revue de l'arte chrétien . , Si cest toi qui las enlevé, dis-moi oià tu las mis, et je lemporterai, " -Jésus lui dit "Marie!" Un ce nom prononcédune voix si connue et si aimée, elle se " Maître!... s> et le retourna, s écriant I. Sauf peut-être sur quelques chapiteaux romani deCatalogne, que nous navons pi" esaminatore que sur dinexac-tes riproduzioni. REVUB DB lart CHRÉTISN.1907. - 6° LIVRAISON 378 3Rebue X)t v^vt cj^rctien. Cristo reprit : " Ne me Touchez pas {JVohme tangere). Ces derniers mots ont souventservi, dans la littérature iconographique, àdésigner toute la scène, si poétique, delapp

• Collaboratore: The Reading Room / Alamy Foto Stock
• ID dell’immagine: 2ANCD1A
• Dimensioni dei file: 7,1 MB (428,2 KB Download compresso)
• Liberatorie: Modello - no | Proprietà - no
• Dimensioni: 1721 x 1452 px | 29,1 x 24,6 cm | 11,5 x 9,7 inches | 150dpi

Altre informazioni

Questa foto è un'immagine di pubblico dominio, il che significa che il copyright è scaduto o che il titolare del copyright ha rinunciato a tale diritto. Alamy addebita un costo per l'accesso alla copia ad alta risoluzione dell'immagine.

Questa immagine potrebbe avere delle imperfezioni perché è storica o di reportage.

Revue de l'art chrétien . , si cest toi qui las enlevé, dis-moi oià tu las mis, et je lemporterai, » —Jésus lui dit «Marie!» A ce nom prononcédune voix si connue et si aimée, elle se « Maître!... s> Et le retourna, s écriant I. Sauf peut-être sur quelques chapiteaux romans deCatalogne, que nous navons pi» examiner que sur dinexac-tes reproductions. REVUB DB lart CHRÉTISN.1907. — 6° LIVRAISON 378 3Rebue X)t V^vt cj^rctien. Christ reprit : « Ne me touchez pas {JVohme tangere). Ces derniers mots ont souventservi, dans la littérature iconographique, àdésigner toute la scène, si poétique, delapparition à Madeleine. Daprès le texte évangélique, on doitpenser, ou que Jésus ne sétait pas, dès labord, manifesté sous sa physionomiehabituelle, ou plutôt que Madeleine, lesyeux obscurcis par les larmes, ne lavait pas, au premier instant, suffisamment regardé.Adoptant cette seconde hypothèse, les ima-giers, jusquà la seconde moitié du XIV^siècle, nont pas hésité à donner au Christ. Fiff. 98. — Clôture du chœur de Notre-Dame de Paris. — Apparition du Christ à Madeleine. les mêmes traits et les mêmes attributs quedans la scène de la Résurrection : cetteinterprétation est dailleurs logique, puisqueJésus lui-même va déclarer à Madeleinequil nest pas encore remonté vers sonPère. Il est donc encore vêtu uniquementdu suaire, et tient à la main la croixhastée (). I. Vantaux dHildesheim (XII= siècle) ; portes de SanPedro la Rua, à Estella (vers 1200), de Rouen (fig-3g), de Strasbourg (fii^. ^y), chapiteau.x du cloître dElne(deux fois), très nombreux diptyques divoire du X1V=siècle, etc. Jean le Bouteiller qui, vers 1350, sculptala clôture du chœur de Notre-Dame deParis, semble avoir été lun des premiersà supposer, pour expliquer la méprise deMadeleine, que le Christ se serait donnélapparence dun jardinier () : dans samagnifique composition (fig. ç8), il placedans la main de Jésus une bêche (). Cette 1. Peut-ê