. Annales de micrographie. - 514 - G,G s'abaissent, le mercure monte dans les tubi plongeants des soupapes un et 0, puis s'échappe par les tubi plon- geants de la soupape B. Les tubi plongeants des soupapes 0 et un sont réunis- pour plus de commodité par tubo onu en T, et c'est en i qu'on adapte le caucciù destiné à transmettre l'aspira- zione. G'est à l'ouverture e de la soupape B qu'on adapte le tube destiné à conduire l'air aspiré au compteur.. Fifj. 4. Fig. 3. -Coupe des soupapes hydrauliques. - P, P, corps de pompe. - G, clo- che plongeante. - T. t"", tubi flessibili communiquant r

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. Annales de micrographie. — 514 - G, G s'abaissent, le mercure monte dans les tubes plongeants des soupapes A et 0, puis s'échappe par les tubes plon- geants de la soupape B. Les tubes plongeants des soupapes 0 et A sont réunis- pour plus de commodité par un tube en T, et c'est en I qu'on adapte le caoutchouc destiné à transmettre l'aspira- tion. G'est à l'ouverture E de la soupape B qu'on adapte le tube destiné à conduire l'air aspiré au compteur.. Fifj. 4. Fig. 3. —Coupe des soupapes hydrauliques. — P, P, corps de pompe. — G, clo- che plongeante. — t. t'", tubes flexibles communiquant raspiration de l'air. — (, t" tubes flexibles du refoulement de l'air. — A, B, G, soupapes co'jpces diamétralement. Fig. 4- — Plan par terre cl coupe du corps de pompe gauche. — H, H, mouve- ment d'horlogerie. — Y, levier. — X, X, balancier. — N, bielle. — M, tige con- ductrice. — G, cloche plongeante. — P, corps de pompe droit.— V, coupe du corps de pompe gauche. — A, B, 0, soupape vue d'en haut. — t. l" tubes flexi- bles communiquant l'aspiration de -l'air aux soupapes hydrauliques A, G, et de là, par un tube en T, à l'ouverture unique I. — t' 1°, tubes flexibles du refou- lement de l'air, amenant l'air comprimé dans la soupape B, et de là dans ua compteur par l'ouverture unique E. Je ferai remarquer que, dans les pompes, le point faible réside dans le fonctionnement parfait et l'étanchéité des- soupapes; ici rien de pareil n'est à redouter, l'air aspiré en I est intégralement rendu par l'ouverture K avec toute la précision que comportent les opérations de l'eudiométrie. Je dois cependant avertir le lecteur que cette pompe offre, je ne dirai pas des défauts, mais qu'elle se prête seu- lement à un certain nombre de recherches, ce qui tient d'abord à ce que la force d'aspiration n'excède pas au maximum un mètre d'eau, ensuite à ce que le volume de l'air aspiré est relativement très limité ; j'ai

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