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RM2CHH8YY–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . n Proponi est une aimable nudité;Pourquoi donc la couvrir? Croyez-moi, la BeautéGagne au total en quelque perdant scelto. Caraccioli remarque quon se servait autantpar élégance que par besoin des Manchons enhiver. La forma en varie continuellement, dit-il;aujourdhui (1768), les hommes sen tiennent àde petits Manchons doublés de duvet et garnis desatin noir ou gris. » Vers 1720, les Manchons pour femmes étaienttrès étrès et longs ; les Mains croisées devaenty tenir au Plus juste; puis ils prire une allureplus large, comme celui que lon peut voir auxMains
RM2CHP5KB–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . PARIGI A. QUANTIN, IMPRIMEUR-ÉDITEUR 7, RUE SAINT-BENOIT, 7 -1883 3.0 SO
RM2CHN9HP–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . ..ff^^r^. VF f<^ quelques côtes de baleinequi le soutiennent. Il sertaussi pour se défendre dela pluie, et alors quelques-uns lappellent parapluie. La définition de Richeletest presque la même. Ilajoute cependent ces mots :« 11 ny a que les femmes quiportent des parasols, et mêmelies nen portent quau printemps,lété et en automne. » à-fine presque au xvin= siècle, il est vrai, puisquil meurtpeu de temps avant la fin du règne de Louis le Grand.Ceci nous porte laurore de la Régence, et une renais-sance va sopérer dans la coquetterie féminine.
RM2CHM5TD–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . tte : Ami Rare et vraiment nouveauQui, contrairement à lusage,resta à lécart lorsfil fait beauEt reparaît aux jours dorage. Vela vaut presque cet autre quatrain plusvieillot encore signé du bon abbé Delille : CE meuble précieux et souple où se déploieEt lart de la baleine et lart du ver à soie,et dont laile en souvrant contre lhumide affrontDe pluviale abrite notre front. Ne sont-ce pas là des vers académiques bienfaits pour des Parapluies dacadémiciens! Allons aux extrêmes : Parmi les chansonspopulaires, nous entendons le Parapluie, « chan-sonnette
RM2CHHXKP–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . / / •dans par la veuve du pré-sident Nicolai, on Lit :Item : un Manchon de veloursdoublé de martre :A Venise cependent nous avons,nos recherches, retrouvé vestige duManchon dès la fin du xv» siècle; les courtisanes célèbreset les nobles dames portaient déjà des manchons quiservaient de niche à des chiens minuscules, et une gravurereprésente une scène dintérieur où une belle Vénitiennesemble montrer à son amant les jeux infinis de sesbichons emmanchonnés. Il Y avait à cette époque à Venise des manchons déli-cieux, fabriqués, selon la façon primitive, dune se
RM2CHM55G–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . 68 – grosse, quil nous fut impossible de lembrasser aprèsen avoir coordonné les diverses parties. CE sont doncdes épaves qui échouent ici, pauvres épaves, vestigesdun projet qui, comme tous les projets, devint homé-rique en grandissant, dans le travail de limagination. Nous terminons donc cet essai avec le sentimentdun ridicule dont nous nous raillons en nous-même,celui davoir rêvé une monographie parfaite, et de nemettre au jour quune Petite fantaisie chiffonnée qui sedérobe ironiquement comme cette minuscule sourisdont la montagna
RM2CHK1FW–. L'ombrelle--le gant--le manchon; De Fontenelle :Eussions-nous la main pleine de faits probants ou de .vérités, il ne faut jamais que faibement Tentrouvrir.le Gant serait digne denter à jamais dans la légendedun conte de fée, comme la mule est entrée dans lapoésie même de la favillé de le Cavec. Un ancien roi de France fut en effet amoureux toute savie dune femme inconnue, pour avoir seulement aperçuson Gant au milieu dun bal masqué donné à sa cour.Cela ne peut-il pas aisément se concevoir,daprès cet aphorisme par à peu près : « Mon-moi-vous-vas-vas
RM2CHNA84–. L'ombrelle--le gant--le manchon;. Necdotesde Ménage, les recueils poétiques, les Entre-tiens divers, les Mélanges, cest toute unebibliothèque boulissée en puro perte, unemigraine conquistise sans le moindre résultat. Dans un recueil manoscrit, écrit vers 1676,et qui relate les mémoires de Nicolas Barillon,comédien, cette phrase seule attyre notre atten-tion : « Les journées estant très chaudes, cettedame portoit soit un masque, soit un Parasolde la peau la Plus précieuse. » De ce masque ou de ce Parasol de peau pré-cieuse aucune conclusion à tirer meilleure quecelles des dictionnaires de lan
RM2CHJYC3–. L'ombrello--le gant--le manchon; . lavant-bras. làquoi Ta napparaît damner un fanatique de la femme.le Gant àtoutes pas seulement fêtes où les grâce président la et labeauté : On le retrouve, dans toute la rudesseet la grossièreté de son origine, vers lesrégions polaires, chez les Norvégiens, lesLapons et les Finnois, qui portent des grosGants de laine en été et des épais Gants de peaude renne avec poils apparients en hiver. CEST munis de ces Gants quils peuvent par-fois courageusement sortir de leur hutte, endépit des frigats qui sévisssent, pour tuer loursblanc et le phoque, ainsi que n
RM2CHNJYH–. L'englesis--le gant--le manchon;. E-reurs et mandarins. Su portait, paraît-il, autre-fois, vingt-quatre ombrelloni devant lempereur, lorsque SA Majesté allait à la chasse. « Jamais un Chinois dune classe un peuélevée, un mandarin, un bonze ou un mara-bout, ne sort sans le Parasol, constate M. MarieCazal, le fabricant dOmbrelles qui fit vers 1844un petit Essai sur le Parapluie, la canna et leurfabrication. Tout Chinois dun ordre supé-rieur se fait suivre dun esclave qui porte sonParasol déployé. «, aumême le Parapluie, en Chine, est destiné usage que le Parasol, poursuit M. Cazal;il apparti
RM2CHN7DE–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . servir à lhistoire desmodes et des Costumes en France, dans le passage duruisseau, daprès Garnier, au milieu des fêtes publiques,aussi bien parmi le brouhaha des foules, que Moreaunous montre dans les Grands Carroses, de Cours Que dans les Petites réjouissances populaires,comme Vascension dune Montgolfière, daprès les gra-vures du temps. Lombrelle pique encore dune petitenote gaie les grands tableaux de Joseph Vernet; dans savue dAntibes et son Port de Marseille, le peintre aplacé entre les mains de jolies promeneuses dadorablestetites Ombrelles
RM2CHNCE3–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . c VR -34-la pluie que contre le soleil. JE me donnaidonc une peine énorme pour le faire et fuslongtemps avant darriver à un résultat pas-sable. A deux ou trois reprises diffrérentes,lorsque je croyais avoir atteint le but, je fusobligé de tout recommencer parce que je recon-naissais que ce nétait pas là ce quil me fallait.A la fin cependant je vins à bout de fairecelque chose de suppportable; la grande difi-culté avait été de disposer le Parasol de manièrequil pût se fermer, car un Instrument quil fal-lait toujours laisser ouvert était fort incommode.CEPEN
RM2CHNAWJ–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . Mains de femmes de qualité, à la prome-nade, au Cours ou dans les grandes allées du parc royalde Versailles, vers le milieu du règne de Louis XIV LeParapluie de ce temps était un meuble assez grossier etétonnamment lourd, quelle était quelque peu ridicule detenir à la main. En 1622, cétait en quelque manière unenouveauté à Paris, puisque dans les Questions tabari-niqiies citées par lutile furteur Edouard Fournier dansle Vieux et le Neuf^ on en parle ainsi à propos du feutrefameux de Tabarin : « CE fut de ce chapeau quon tiles, parasini
RM2CHNRX6–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . s, su fut forcé, - raconte le scrupuleux historien de cette expédi-tion principère, M. W.-H. Russel, connaître afin de lefaire éléphant aux indigènes, de mettre le princesur un tête et de tenir sur sa être LOM-brelle dor, symbole de sa souveraineeté on peut voir aujourdhui au South-Kensing-ton Muséum, dans ladmirable galerie insennequi vient dy installée, Une vingtaine deParasols rapportés par le Prince de ce voyage etdont chaque type particulier vaudrait une des-cription qui ne peut, hélas! à notre rammarico sin-cère, trouver luogo ici. Su y peut ammiratore lest
RM2CHNH4Y–. L'ombrelle--le gant--le manchon;. De Yokohama. Théo-tier,qui semereillait hautement et àvant la prestesse, la grâce et la hardiessede ces équilitheses merveilleux, a laissé à leursujet les Plus belles pages peut-être de ses feuil-letons de lundiste. Le bon Théo, ce Rajah exilé,puisait chez ces clowns étonnants de légèreté unenthousiasme qui mettait sur sa palette de coloristeles tons les Plus vibrants et les nuances les Plus fines Lombrelle et lEventail sont en effet présentés parces magiciens dOrient avec des gentillesses particulières, dans la jonglerie des exercices les Plus va-rié
RM2CHH6YP–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . 120 voitures publiques, partout nous voyons le Manchonféminin mignonnement serré contre leur taille par dejolies aventurières. Tele est aussi la fine patineuse deBoucher, qui passe comme une gracieuse figurine pari-sienne sur un fond de paysage hollandais, peletonnéesur elle-même, mais vaillante, semblant faire poupe deson Manchon pour mieux fendre Tâpreté de la bise.Mausie, jourans la vie et privé, hu le Manchon poupaitégalement prêter à des tableaux de genre, et les fabri-cants dEstampes auraient pu compositore bi
RM2CHN016–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . àCoblentz, à Mousseaux, chaque beauté à la modedéployait un luxe inusité pour la décoration de sonOmbrelle; cétaient des verts tendres, brochés dor, desnuances chair avec grecques écarlates, des dunbleusattendris, relevés dargent des cachés des exégrètisée des détravèle des détravèté des détravèté des détravèté des détravèté des détravèté des des dégreté des détravètés des détravètés des détravètés des des des Ma paole siipême, il fallait voir cela, commedisaient nos élégants. Rien de Plus coquet que cesParasols rayés, zébrés, bariolés, grecques, commecompplément dune robe à Vompkale, à la Flore, à laDianC; appar
RM2CHG66C–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . PëSTla *P6ussaint7ufeîa-froî9:.. vâTnache-ter un manchon... prends-le beau... quil dure long-temps; jai peur des engelures pour cet hiver. » Puis, lorsque Jacques rapporta le manchon : « Ilest bien Joli, dit Francine, JE le mettrai pour sortir. » Le lendemain, Jour de la Toussaint, à langélusde midi, elle fut pry par lagonie et tout son corpsse mit à trembler. « Jai froid aux Mains, mormura-t-elle, donne-moi mon manchon » - et elle plongeases pauvres Mains dans la fourrure. « CEST fini, dit le médecin à Jacques, va lem-Brasser»; et Jacques colla
RM2CHNW3A–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . Èv> A<f- W (krement a sa merci.. I3 dans riiide antique, berceau de la race humaine,dit-on, de tout temps et que partout ailleurs leParasol sest déployé dans sa splendeur et la grâce desa contexture, comme un immuable symole de la royma-jesté. 11 semble réellement que ce soit sous-lazur profond de cet admirable ciel indien quait étéinventé le coquet instrument dont nous exposons ici,par zigzags littéraires, le sommaire historique. Il adû naître là tout dabord comme un fragile bouclierà oppiser à lardeur du soleil, puis il sy est sans dout
RM2CHJN91–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . rime, à crispin de peauuge, et le Gant géant qui enfle le poing desôxeurs? Le Gant dordonnance du bon Du-net, ce Gant de filoselle blanc que le braveter met si volontiers le dimanche, au sortir de sacaserne, avec un geste conquistérant? New York a-t-il pasencore le Gant du cuirassier à Large crispin de buffleque ce dernier homme de fer campe si gaillardementsur sa hanche quand il est en service destafette? Lhistoire des Gantelet et Gants militaires depuis lemoyen âge ferait un gros volume, aussi bien que le Gantféminin et le moufle de louvrier. Le Gant liturgiq
RM2CHG226–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . I3i - lours noir, entièrement recouvert dune résillede chenille noire et or : trois colibris dans un nidde dentelle noire; le Manchon-Duchesse : touten marabouts, imitant la fourrure, parsemé depetits nœuds de satirs in feu; le Castillan, en blé de points, noche de luche Le Minerve, eru skong ou zibe-line, avec un nœud de satin noir et une tête decouette. « - Tout cela, modes daujourdhui qui sont déjàdes modes dhier, tant linconstance de la voto est perpétuelle ! – Aujourdhui l
RM2CHK7W6–. L'ombrelle--le gant--le manchon;. Eau de renne. A la chasse, pour courir le renard : Gants depeau de camois. à pour rentrer à Londres en tilbury après unecourse Richmond le matin : Gants de castor. Pour aller Plus tard se Promener à Hyde-Park, ouconduire une lady faire ses visites ou ses achats à Lon-dres et lui offrir la main à la desente de voiture :Gants de chevreau de couleur soutachés. ■ pour aller dîner : Gants jaunes en peau de chien- et le soir, pour le bal ou le raout : Gants en canepinblanc brodés en soie. » Quelle odieuse tyrannie quune moda aussi exi-geante ! et
RM2CHNWKN–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . , dans laquelle Prométhée, par craintede Jupiter, crie à son esclave, avant de saban-donner à une passion agréable à Vénus seule :a Prends vite cette Ombrelle et tiens-la au-dessusde moi, afin que les dieux ne me voient pas. »CEST aussi, sans doute par cette même raisonqui interdisait virtuellement le Parasol auxhommes, que les filles des Métèques ou étran-gers domiciliés à Athènes devaient, au diredÉlien, porter lOmbrelle des femmes athé-niennes dans les spectacles et les cérémonies, esporteurs, porteurs, déportés
RM2CHG550–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . en Joli, dit Francine, JE le mettrai pour sortir. » Le lendemain, Jour de la Toussaint, à langélusde midi, elle fut pry par lagonie et tout son corpsse mit à trembler. « Jai froid aux Mains, mormura-t-elle, donne-moi mon manchon » - et elle plongeases pauvres Mains dans la fourrure. « CEST fini, dit le médecin à Jacques, va lem-brasser»; et Jacques colla ses lèvres à celles de sortamie. Au dernier momento, su voulut lui retirer leManchon, mais elle y cramponna ses rete. « non, non, dit-elle; laissez-le-moi : nous sommedans lhiver, il fait froid. Ah mon
RM2CHFRGH–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . ACHEVE DIMPRIMER SUR LES PRESS TIPOGRAPHIQUES ET EN TAILLE-DOUCEDE IMPRIRAEUR-CDITEURCE QUINZE NOVEMBRE M.D.CCC.LXXXII. ■ ..^/^■T.iw..».^--»-. ^..^-t,..^^-.-».. ry NI . S DeKalK Av«. V
RM2CHN6N5–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . Dautre part, on peut mirer à Woburn-Abbey un remarquable portrait peint vers 1730de la duchesse de Bedford, suivie dun petit. c^ <) - 47 - nègre qui tient au-dessus de sa tête un somptueuxParasol dapparat. Il est juste de ditre que pendant les premièresannées du siècle dernier, on ne pouvait guère seprocurer de Parapluies à Londres que dans lescafés, où ils étaient mis en réserve pour être louésaux consommateurs pendant les grosses pluiesdorage. Le Premier citoyen anglais qui ait im-porté réellement lusage absolu du Parapluie dansa Nation, fut sir Jonas
RM2CHKCE6–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . mede sceau, qui représente la libertétenant en main la pique, le Bonnet phrygien et lesbalances de la justice voilà une liberté qui nestguère libre... de mouses, direz-vous); à droitesest gauaccuni de suci, spon de suci, à chat. Je ne perdrai pas mon temps à vous paraphrasercette bolsymbolique, et par une large enjambéehistorique je vous conduirai dans la quiétude quelquechâteau, sous la Restauration; et, le soir au crépuscule,sur la terrasse, devant un Grand parc, je vous montreraideux, rouco
RM2CHNGDY–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . icks, à Londres, vers 1871). Il a lamême importance chez certains peuples nègrede lAfrique occidentale, qui lont probablementemprunté des Arabes. Niebuhr, dans la descrip-tion du cortège de liman de Sanah, nous ditque liman et chacun des principes de sa nom-breuse famille se faisaient porter à côté deuxun Madallà ou Grand Parasol. CEST dans leways un privilège des princes du sang. Le mêmeécrivain raconte que beaucoup de chefs indé-pendants de lYémen portent des Madallascomme marque de leur indépendance. AuMaroc, lempereur seul et sa famille ont le pri-vilège
RM2CHMN8C–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . s nos mœurs et le dandysmede i83o, qui mettait le port de la canna à la hauteurdun chic particulier, repoussait le Parapluie commecontraire à la véritable élégance. Le Parapluie étaitpaysannesque, « vieille fomme » et « vieux bonhomme »;il ne semblait tolérable que chez celui qui avait renoncédepuis longtemps à toutes prétentions à un charme quel-conque et qui ne songeait Plus à dessiner, dans la conquité de la silhouette de fierté. Le Clos de Paris, sur les Places publiques de Paris, le largeParasol rouge ou lie de vin était devenu comme
RM2CHNW5D–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . peut contempler sur lessculptures de lancienne egitté, où son usagenétait pas cependant exclusif aux Pharaons,mais quelquefois aussi aux seuls grands digni-taires. On voit dans Wilkinson une étrange gra-vure qui représente une princesse éthiopenneassise sur un verulstriim, sorte de char traînépar des bœufs, et ayant derrière elle one person-vague muni dun grande Parasol dune (ormeindécise entre lécran et lejlabellum en segnage de cercle. Nest-ce pas également en signedadoration quil était dusage de mettre au-dessusdes têtes des statues divines des crois
RM2CHP17T–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . shellénisés, en feraitfoi en quelque sorte,bien que Spanhemius, dans un passage relatifà cette médaille, dise quon a longtemps hésitésur la signification des symboles quelle repré-dente. CES épis marquent-ils la fertilité des pro-vinces gouvernées ou se rapportent-ils à la fêtedes Rameaux? à trouverlà la tente placée aurecto, il est peu probable que lon puisse Moïse un tabernacle selon le rite de dêtre, puisqueles toits de ces tabernacles, loin à en pointe,étaient à plat et fendus par le milieu, demanière laisser pénétrer la pluie, le soleil et la cl
RM2CHHREE–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . rure blanche, qui sélar-git démesurément et forme boudin sur les bords. Maiscest parmi les précieuses gravures de Hollar, AbrahamBosse, Arnoult, Sandrart, Bonnard et Trouvain que nouspouvons voir naître en réalité le Manchon authentique etle trouver aux Mains de la matrone parisienne, de ladame de qualité en habit dhiver, de la préciéla coetette de la coetciéteré. Une gravure de Bonnardnous montre une grande Dame, coiffée à la Fontangeet vêtue comme à la cour, sur le point de sortir; lasuivante ajuste la mante et un gentilhomme frequentare lebon plaisir de la b
RM2CHKGM9–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . ai-sait, paraît-il, de ces Gants en canepin si minces que la pairepaouvait être enclose sans peine en une coquille de noix. Le Gant de cerf ou de buffle était spécial aux fauconniers :il couvrait leur main droite jusquà la moitié du bras, laprotégeant ainsi complètement contre les griffes, ou plutôtles serres, de loiseau : faucon, gerfaut ou épervier, quand ilvenait se leur. Lâchasse au faucon existait encore sous LouisXIII, maisce nétait Plus la grande et belle époque de ce sport artis-tique si profondément intéressant. Dans une de sélége
RM2CHKWY4–. uà en tirer enfin un ouvragesérieux et durable. » « CE Gant ne serait paslancé au public comme unde ces défis qui rappellenttrop le célèbre Gant queCharles V envoya porter à Westminster par un simplevalet de cuisine, ce quiaccentuait loutrage fait au^s^^ f oi dangeterre, - il serait plusamoureusement Jeté, comemes nos anciens romans de che-îlerie, le Roman de la Rose, du Rourit^è Perceforet. Si javais vingt ans,jagirais vis-à-vis du lecteur commePétrarque vis-à-vis de Laure, en ne luidemandant que la faveur de relever legant, et je lui dirais Plus tard à
RM2CHHM9R–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . Furetière), non seule-ment Hollar nous en a laissé la gravure et nousPa présenté sous la forme dun petit Epagneulbasset, mais encore le père Du Cerceau fait direà son poète tapissier : 11 ne fut pas même jusquà Cadet (petit chien de la dame)qui daboyer contre moi ne fit rage.Lingrat Cadet à qui dans mon manchonJavois tant soin de fourrer du bonbon le bureau des marchands pelletiers et four-reurs, au xvn° siècle, se trouvait rue de la Tablet-terie ou rue des Fourreurs, Qui débouchait aucarrefour de la place aux Chats. Les boutiquesdes marchands pelletiers en
RM2CHMX17–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . ainci sur nos pas, à lexemple dun romancierde 1840. CEST à peine si nous avons entrevu LOM-brelle au passage tour à tour aux xvi=, xvu° etxvni° sèicles, dans le décousu et la vitesse de cettecauserie heurtée, en faisant sauter notre prose dansun steeple-chase de charmants dessins. Nous avonsconfondu parfois les deux dénominations dOmbrellet de Parapluie dans le mot Plus général de Parasol;mais si nous sommes allé un peu partout, nous navonspas eu le loisir de nous arrêter nulle part en flâneur eten analyste. Nous voici au début de ce siècle, à LEM-pire, ma
RM2CHNAWN–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . â 38 â vela se comprend : nous voyons quunParasol, au milieu du Grand siècle, pesaiti,6oo grammi, que ses baleines avaient unelonggueur de 80 centimètres, que le manche étaitde chêne lourd et que cette massive carcasseétait recouverte de toile cirée, de bouracan oude gros de chiné Tours, Tours â on maintenait unpareil meuble par un anneau de cuivre fixé à lextrémité des baleines ; â Cétait labeur deportefaix que de se préserver ainses !averses mieux encore; souvent ces parasols étaientfaits de paille, et, si nous en croyons le Diaryand Corresponde
RM2CHJA13–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . ^.. E Manchon! CE nom seul a quelqueJ^ ha scelto de mignon, de douillet et de vo-luppueux. De ce petit nid tiède et satinéoù les jolies petites Mains frileuses se blottissentdans la soie, emportant avec elles un moouchoirde dentelle, une boîte à pastilles, un bouquetde violettes de Parme ou un tendre pouletdamoureux, il se dégage mille riens qui nousplaisent, Comme une envolée de souvenirs et sensations caressantes du Premier âge passé àla maison et des premières amours buissonnières.Tout enfant, nous aimons à jouer avec legrand Manchon maternel, à passer les
RM2CHFTNE–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . ^^^=^4^. più joli, le moins rocailleux, le plus imprévu, cest-à-dire le moins pénitle et le plus verdoyant, tout enrestant le plus court? A toute œuvre - si mince soit-elle - il faut deléloignement, un temps de calme et douli. Lœil dupeintre se trouble et ségare à fixer une même toiledes journées entières ; le cerveau dun chercheur san-kylose et se pétrifie à rêver dans une même atmo-sphère de petites idées qui restent fixées à deschiffons. Lorsque nous aurons démeublé notre crâne deces mignonnes choses, Ombrelle, Gant, Manchon, pour y appporter un courant
RM2CHNJD6–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . 23 aïeul - pére ou de leur à réduit, pour expier sesfautes, animer le corps de ces quadru-pèdes. » Les Parapluies et les parasols les Plus com-muns en Criine sont assez semblables à ceuxqui sont importés en France; ils sont entière-ment faits de tiges de bambou disponées avecun art énorme et recouverts de papier huilé,goudronné ou laqué. Quelques-uns è un'azienda che si avvale di un'ampia scelta di servizi e di un'ampia scelta di informazioni. Tous les voyages en chine et autour dumonde sont remplis de détails sur le Parasolchinois : « Les femmes chinoi
RM2CHNF1Y–. l'ombrelle--le gant--le manchon; . nds du tempsfaisaient le guet dans les replis des rochers; puis nous au-rions vu sûrement, dans des récits passionnants des combatshéroïques, le Parasol bouciller, déjà troué, déchiré en lam-beaux, mèrétier à des coups et coutier des coups de coutier des coups de coutier des coutier des coutier des coutier des coutier des coutier des coutier des coutier des coutions ! Et que de titters ronflants et imprévus dont nous,,,.. Sommes privés par le fait de cette ignorance : les Cheva-liers de lOmbrelle,-le Parasol héroïque, • le Courrier IJG ^^B»,, dÉtat si^ ou lOmbrelle reconquista! Qui sait Encore! ■^^ i^f^ LArsenal, ancien
RM2CHNXR5–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . m toutes provenances qui foison- ^1 neraient dans les marges, à leserte ces bons et solides volumes du xvi siècle quun ermite seul aurait le loisir de lire en conscience aujourdhui. • Tel nest pas notre rôle dans ce léger chapitre.on ne saurait dire au juste pour quel Motif lOmbrelle était portée par des jeunes vierges à toutes les processions, dans les Thesmophories, les fêtes dEleu-sis et les Panathénées, - Aristophane appelle les corbeilles et les blanches Om-• brelles des « Instruments symboliques destinés à rappeler aux humains les actes de Cérès et
RM2CHGF6W–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . is an Palais-Royal en 1787, on voitcircirculer, au milieu de cette foule étrange quon appe-lait la Bigarrure du Palais-Royal, des types extravagants, parmi lesquels des femmes qui tiennent à lamincain le long de leur manémeschaburses, fources grandeuces lesquels figurentégalement sous le bras des galants musqués du temps,avec un petit nœud de satin fixé sur la fourrure. De la Révolution et le Directoire, la mode desManchonsfut aux extrêmes, larges comme des petitsbarils ou étrocits et minuscules; la mode varia aureste à linfini, et il fa
RM2CHN8W8–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . etest presque la même. Ilajoute cependent ces mots :« 11 ny a que les femmes quiportent des parasols, et mêmelies nen portent quau printemps,lété et en automne. » à-fine presque au xvin= siècle, il est vrai, puisquil meurtpeu de temps avant la fin du règne de Louis le Grand.Ceci nous porte laurore de la Régence, et une renais-sance va sopérer dans la coquetterie féminine. Nousallons donc retreuver notre Ombrelle dans des partiesgalantes, soutenue par des petits nègres à turbans; déjànous la voyons décorée de crépines dor et defiilés desoie, r
RM2CHNHKD–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . 25 - Consulter pour bien comprendre les varietés dallures de Tom- nerait une idée bizzarre aponais peut tirer ce sont les jeux fois de Tokio, phile Gau- juste titre de- brelle au Japon. CE qui don-des effets et des Services quundun vulgaire Parasol de son Pays,de ces acrobates qui nous arribent par-de Yedo ou de Yokohama. Théo-tier,qui semereillait hautement et àvant la prestesse, la grâce et la hardiessede ces équilitheses merveilleux, a laissé à leursujet les Plus belles pages peut-être de ses feuil-letons de lundiste. Le bon Théo, ce Rajah exilé, pui
RM2CHMPMH–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . revet dinelvention pour les Parapluies et Om-brelles à canne se renfermant dans un étui de cuivre enforme de lunette dapproche; 3° un brevet dinelvention pour Parapluie à cannerenfermant divers oselle, à sènomé, selle, cangerenfres, selle, selle, selle, sénomé, selle, sénomé, selle, à cangerine, selle 4° un brevet dinvention pour des procédés de fabri-cation de Parapluies et dombrelles qui souvrent seuls,au moyen dun mécanisme placé dans lintérieur dumanche; 5° un brevet pour un Parapluie-cane dont le Four-reau se plie à volonté sa le poche. En dépit de ces invenzioni géniales e
RM2CHGXJ5–. L'ombrelle--le gant--le manchon;. Vulgarisation de la gloire deGainsborough que toutes ses études et portraits).M Siddons est assise, tenant sur ses genoux, de lamain gauche, un confortable Manchon de renardou de loup de Siourrie, dont elle semble rresure, de la maire de lafrite comme pour mieuxfaire valoir la beauté et la blancheur de l'enseignement. œuvre maîtresse dun maître qui eutbien, il est juste de le dire, le Plus ravissant visagedu monde à pourtraire. – Mais, sans quilsoit besoin de Plus longtemps recourir à lécoleanglaise, navons-nous pas ce lumineux por-trait de M Vigée
RM2CHKHTK–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . Cure dune lettre dAntonio irez adressée à lady Riche, rdelordJïssex, laquelle lui l-denrnrdé ides Gants de chien :. « Jai ressenti tant dafflition, écrit-il, denavoir pas sous la main les Gants de chiendésirés par Votre Seigneurie, quen attentantlarrivée de ceux quelle a demandés, je me suisrésolu à écorcher un peu de peau de la Plus déli-cate partie de moi-même, si tant est quil sepuisse rencontrer de la place délicate sur choseaussi rustique que ma personne. Le dévouement au service de sa dame peuventfaire quon sécorche pour le, et qu
RM2CHKEX9–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . e princce que les Gants remontant vers le haut du braset les Mitaines longues en filet de soie, pour faire vallesmains de femmes, furent généralement adoptés par elles. Les Gants à loccavion, à la Cadenet, à la Phyllis, à lafrangipane, à la Néroli, les Gants du dernier fendu, queportèrent un moment les précieuses, cessèrent dêtre demode vers 1680. Lusage dont parle Tallemant, de présenteraux dames, après la collation, des bassins de Gants dEspagnene fit que accentuer en passant de la cour à la ville. Dangeau, dans ses Mémoires, a écrit un chapitre surlE
RM2CHK2HF–. spi-d:P -95- Stendhal - et tous les vrais sensitifs, - le pre-mier serrement de main de la femme quon aime?nos aïeux juraient par la main et lisaidentdans la main les mystères de lavenir. Le jour ducouronnement, la main de justice était portéedevant les rois; cest avec la main que lon salue; on demande la main de la dame quon veutépouser en légitime mariage; On se lave les mainscomme Ponce Pilate des fautes quon na puempêcher de commettre, et, si je devais vous fairelle panégyrique de cet organe, je devrais, commeSchéhérazade, remettrechaquejourau lendemainlaf
RM2CHP50J–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . PRÈS léclatant succès qui accueillit aurenouveau de lan dernier tiotre volumekMmi rÉventail, succès qui provenait – je nesaurais me le dissimuler – Beaucoup Plus de laonception originale et de lexécution décorativede cet ouvrage de luxe que de Vintérêt de lœuvrelittéraire même, jai voulu clore cette série des1^ ornements de la femme par un dernier opuscule sur les parures protectices de cet être délicat,gracile et gracieux : Fombrelle, le Gant, le Man-chon. j4/«5/ se trouvera limitée en deux volumescette collection des hochets féminins que nousavions primi
RM2CHJR87–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . pt ces Costums ferait lobjet dune longue bro-hure, car il faudrait considérer le Gant dansoutes les classes sociales et à toutes les époques,eupuis les Gants brodés des doges jusquaux Gantsspéciaux des marchans, Des recteurs de luniversité dePadoue et même des moines de la confrérie de la Croix,taient violets sur robe blanche, ecc. ce serait folie que de ne vouloir rien omettreis la tentative aussi prime-saautière et si peurétentieuse de cette monographie du Gant.pas desrantier, à nencous à de peauuge, et le Gant gé
RM2CHHJ4E–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . mode des adtres de Paris contient quelques dési-gnations de marchands pelletiers et fourreurs vers la findu XVII siècle. La Mode variait déjà beaucoup la forme du Man-chon sous Louis XIV; daprès les rares documents quenous avons pu inventorier, il nous a été facile de con-stater de nombreuses modificazioni dans la forme et dansle volume. Tantôt étroit et long, tantôt large et Court,il serait impossible dassigner à ce petit meuble untype Exact pour toute cette époque. Le Manchon triomphait déjà, sous Louis XIII, àlempire des œillades e à la Place Royale,
RM2CHMTM6–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . Lombrelle se montre Plus favorablement à lheurede la paix, sous la Restauration. à tous les jour-naux de modes de lépoque nous en donnent desspécimens curieux et variés dans leurs gravures suracier, coloriées la main, qui nous montrent, pendantces jours daccalmie, de langoureuses dames au milieude décorations amusantes : soit en hiver parmi despaysages neigeux, soit en été dans un parc auxlointains profonds, sur quelque pont rustique, où leschâtelaines dalors promenaient lentement leurs rêve-ries romanesques. Su suivre di arachidi, dans les innocm-brables Monite
RM2CHKK1E–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . ler dans de longues phrases émues des exploitsde la marquise de Brinvilliers et du farouche Gandinde Sainte-Croix, vous montrer les sinistres empoison-neurs préparant la nuit leur ganterie infâme; Puis, dansun conte fantastique comme volivier Brusson dHoffmann,évoquer le procès célèbre de la marquise, la question,les supplices variés, la chambre ardente, jusquau bûcherfinal. Tout cela à propos du Gant ; à qui sait si cette sim-ple histoire ne vaudrait pas mieux que tous les coq-lâne que je vais vous faire forcément sur le Gant et lesMitaines? Una vous dir
RM2CHNR98–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . Arrachons-nous, par de-^ voir, au Pays indou pour retrouver le Parasol sur une terre Plus classique, dans lancienne Rome, au milieu du Forum et des jeux du cirque. Lombrelle se trouve assez fréquemment dans les Plus anciennes peintures sur pierres et vases dEtrurie, bien longtemps même avant lère romaine. Daprès Pline et Valère Maxime, cest de Campanie que vint le Velarium destiné à garantir les spectateurs du soleil. Lusage de lOmbrelle particulier à chaque spectateur sétablit peu à peu, les jours où, par suite du vent, le Velarium ne pouvait servir. Mar
RM2CHH0N8–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . ^XE più célè-Jivplus délicieux t«^. ^hgureun Manchon estment cet adorable tableai nom de la.jeunenolds, qui faitmarquis dHert-peinture.- cette bre et leb 1 eau oùassuré-tonnu sous leFille ail Manchon, de Josliua Rey-partie de la belle Collection de M. le^lord. Rien nest Plus délicat que cettejeune femme anglaise qui semble plu-tôt traverser le tableSu^que sy fixer, tellement fut grande, ondirait, la pregesse avec laquelle le peintre a cueilli cette imageau passage avec soii moude promeneuse, le corps unpeavé de côté, cliné de tête
RM2CHN0H6–. L'ombrelle--le gant--le manchon;. Demander en quelle attitude on représentera ce pai-sible humanitaire, si le Parasol de bronze resterafermé dans sa dextre, ou sil se déploiera dans touteson ampleur sur le chef de son protecteur devenainsison protégé. Vers lépoque où mourait Jonas Hanway, Rolandde la Platière écrivait dans ses Manufactures^ Arts etmétieis cette Observation curieuse : à Lyon que non seulementtoutes les femmes, mais les hommes même, ne traver-seroient pas la rue sans le petit Parasol rose, blanc oudune autre couleur, garni dune blon
RM2CHJK56–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . a chère belle,s|combien Balzac eut raison dans son brillant et profond.{Traité de la vie élégante, lorsfil écrit les lignessuivantes, que je navais pas suffisamment méditéesavant dole-vis de à! « Lérudit ou lhomme du monde élégant qui vou-drait rechercher, à chaque époque, les Costumes dunpeuple, en ferait ainsi lhistoire la Plus pittoresque et la Plus nazionalement vraie demander lorigine des souliers, des aumônières, des chaperons, de la cocarde, des gattuques, méguins, est entraîner des gattudes mémodes, méguages, méguages, est des guties, métudes guties, est des guties
RM2CHNP33–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . k^^^. Le Parapluie romain semble avoir été unsimple morteau de cuir, daprès ces vers queMartial écrit en forme de conseil : Ingrediare viam cœlo licet usque serenoAd subitas nunquam scortea desit aquas. CE « pan de cuir » était assurément un Para-pluie qui, sauf le poids peut-être, ne devait rienavoir à envier au nôtre. A Rome comme à Athènes, lOmbrelle sem-blait préserver des regards divins, car selonMontfaucon on couvrait même les tricliniadune sorte dOmbrelle, afin de se livrer plusmystérieusement aux orgies de toute sorte etaux plaisirs de Vénus.
RM2CHNPMG–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . z fréquemment dans les Plus anciennes peintures sur pierres et vases dEtrurie, bien longtemps même avant lère romaine. Daprès Pline et Valère Maxime, cest de Campanie que vint le Velarium destiné à garantir les spectateurs du soleil. Lusage de lOmbrelle particulier à chaque spectateur sétablit peu à peu, les jours où, par suite du vent, le Velarium ne pouvait servir. – Martial dit dans ses epigrams (livre IV) : Accipe quce nimios vincant Vinbracula solesSi licet, et ventits, te sua vêla tegant. On se servait de.lOmbrelle non seule--ment dans les théâtres,
RM2CHKYTE–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . JE men empare-rais et jirais, détalantcomme un chat, me blot-tir en sa compagnie dansma tanière de savant, afinde le flatefer longuement,létudier et de lanalyzerchaque jour davantage, jus-quà en tirer enfin un ouvragesérieux et Durable. » « CE Gant ne serait paslancé au public comme unde ces défis qui rappellenttrop le Célèbre Gant queCharles V envoya porter à Westminster par un simplevalet de cuisine, â ce quiaccentuait loutrage fait au^s^^ f oi dAngleterre, âil serait plusamoureusement nos, de-romans, de-ancierie romans à commines, de-la Jeté commines le Roman de
RM2CHNND7–. fc4-« Gùardi, de Tiépolo, et de la plupartde ces charmants peintres vénitiens duxvni= siècle. Il paraît évident que les Gallo-Romains connaissaient lusage du Para-sol, mais il serait malaisé den démon-trer lexistion loquement aux épo-ques guerrières et gothiques. Su sefigura mal ces hommes darmes, cesgentils paiges et ces nobles damoisellesà haute coiffure et à longue robe, munisdu frêle en-cas de soie. On ne craignaitassurément alors ni la pluie ni le soleil ; on ne rêvait que bataillolles, selon lemot du temps ; tout se faisait en lhon-neur des dames, da
RM2CHKMXH–. l'ombrelle--le gant--le manchon; . cest que, con-trairement à ce qui se fait aujourdhui, il était assolumentdéfendu de paraître ganté devant les grands personnages.dans un manoscritt publié dernièelement, le Dit desMerciers, on voit un e sengant : marché Jai les mignottes ceinturètesJai beaux gants à Damoiselètes...Jai gants forrés, double et sanglesQue je vent à ces gentix famés... Mais quétaient ces gants fourrés pour gentilles femmesà côté de ceux que les belles Vénitiennes montraient, lesjours de grandes cérémonies, losque le Doge sapprêtaità monter sur le Bucentaiire p
RM2CHM0TX–. rançais qui traitent dela matière ; encore nest-ce là quune ébauche informe. II faudrait previmager lusage du Gant chez les anciensHébreux, chez les Babyloniens, les Arméniens, lesSyriens, les Phéniciens, les Sidoniens, les Parthes, lesLydiens, les Perses, les Grecs et les Romains, ecc. il serait urgent de diviser louvpar ressivers, subdivivers; Ainsion réserverait à létymologie seule du mot Gant dansles diffrérents dialectes une longue notice de linguis-tique comparée ; et il faudrait sassurer, par exemple,si le Gant dont s
RM2CHNFK6–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . esdu désert des rois à demi vêtus dedéfroques à leuropéenne, pries ouéchangées on ne sait où ; et, choseétrange, au-dessus dun vieux cha-peau de soie à moitié défondé,lun de ces rois nègres, au diredun voyageur, aurait tenu avecune sorte de majesté grottesqueun vieux parapluie troué dont lesbaleines apparaissaient à moitibrisées. CE Robert Macaire dudésert ne rappelle-t-il pas cetteaimable fantasia équateriale duParnassiculet contemporain, son-net qui se termine par ces vers : a-t-il donc détonnant, ce fils de la Havanesans toi serait mort de faim dans la
RM2CHP6T2–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . rOmbrelle le Gant - le Manchon <3^lombrellelegantl00uzan
RM2CHNNF6–. fc4-« Gùardi, de Tiépolo, et de la plupartde ces charmants peintres vénitiens duxvni= siècle. Il paraît évident que les Gallo-Romains connaissaient lusage du Para-sol, mais il serait malaisé den démon-trer lexistion loquement aux épo-ques guerrières et gothiques. Su sefigura mal ces hommes darmes, cesgentils paiges et ces nobles damoisellesà haute coiffure et à longue robe, munisdu frêle en-cas de soie. On ne craignaitassurément alors ni la pluie ni le soleil ; on ne rêvait que bataillolles, selon lemot du temps ; tout se faisait en lhon-neur des dames, da
RM2CHG790–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . JE nmen puis servir de lannée,Car la main de maître SimonQue rien jamais navait gênéeNy faisait pas tant de façon;il en a tout chiffonné la fourrureEt même égrandi louverture Revenez-y !Jvous prêterai mon manchonMignon!. 127 - et même égrandi louverture...CE petit meuble, si mignon,A quasi changé de figure;Cétait le Plus pit de la maison.lboufFe autant que celui de ma tante,Voyez comme ça mrend ben contente!... Revenez-y !Maître Simon, frottez-vous-y!Jvous prêterai mon manchon? Mignon!Jvous prêterai mon manchon!
RM2CHMFAC–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . -64-dessous rose nuage de leach blanche, dont le mancheétait en jade avec inscrubrations de pierres précieusesjusquà la pointe extrême. Un anneau dor diamantédémeraudes et de brillants, attacé à une chaîne dor,servait de fermoir à ce joyau inappréciable. Mais, dans cette manière de conférence hâtive, oùnous allons en courant de lOmbrelle au Parapluie,ne négligeons pas ce dernier, quon nomma dernière-ment parafromèe et parfl<fe7M^e, et que M. de Balzac,dans le Père Goriot, de bâtard canolet du « ». Le Parapluie un inspiré bien
RM2CHKD6E–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . -fi^î^. -màsà. G)/ -If^. 86 – Pater ou Moreau, entourées de leurs « filles demodes», faisaient Plus Grand massacre de Gants àlheure de lessayage que nos Plus riches mon-daines daujourdhui. Vendôme CES Gants étaient depeau de chevrotin, de fil et de soie; les pluscélèbres venaient de , de Blois, deGrenoble et de Paris; ils étaient généralementfabriqués de peau blanche, cousue à la diable,mais la coupé était gracieuse au possible, avecson revers tombant du poignet sur la main etles petits rubans et les fines rosettes de couleurincarnat qui sentrelaçaient
RM2CHJ61E–. sontà laffût, impitoyables, tour à tour raileurs, ardents, flam-pants, noyés de voluptés, chargés en un mot jusquà mi-traille de toutes les flèches du carquois cupiidonien. Ainsi, du milieu des fourrures, la femme, cette plantemignonnette, cette mimosa piidica,dégage une beauté Plus mystérieuse,Plus tiède, Plus prometteuse, Plus/enveloppée et Plus enveloppante,comme si de lélectricité de cetteentie subeterie il sépandait dune frô sentiante. Les anciens A.
RM2CHHNAK–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . Ife5 ^^^^^M. Ii5-dans la favable du Singe et le Léopard, il faitdire à celui-ci : le roi ma voulu voir, et si je meurs il veut avoirUn Manchon de ma peau; tant elle est bigarrée,Pleine de taches, marquetéeEt verbetée et mouchetée. Quant au chien de Manchon (pour finir decontrôler la définition de Furetière), non seule-ment Hollar nous en a laissé la gravure et nousPa présenté sous la forme dun petit Epagneulbasset, mais encore le père Du Cerceau fait direà son poète tapissier : 11 ne fut pas même jusquà Cadet (petit chien de la dame)qui daboyer contre moi
RM2CHHF43–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . à. sant porter un par le bourreau un Jour dexé-cution, être ce devaient à des Manchons Requête lajésuite, des Manchons qui nétaient pas en four-rure et contre lesquels une plaisanterie du com-mencement du siècle : maîtres présentée aie papepar les fourreurs,-lessu, commite jusquà ceux en poils de chèvredAngora, immenses Manchons qui tombaient àterre, jusquaux petits Manchons de la fin dusiècle, baptisés j7e?zï baril, commela palatine étaitappelée chat. La mode des traîneaux, alors fortrépandue, ajoutait encore à la mode des four-rures. Une
RM2CHMDCT–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . uon nomma dernière-ment parafromèe et parflp. 4 treses sous la pluie des bou- slevards; on nous a peint lemonsieur qui suit les dames,^i^l^ Â;-^ i^uni de son Parapluie,^ .f •JliW^:^& -*§ son arme de Combat, et bien^■Y à IFIS romans et des conténoules de noules, rue de noules, énoules de noules. Su un mis enavant, de subacquei côtés. Futi-lité de rOmbrelle du pein-
RM2CHNBYW–. L'ombrelle--le gant--le manchon; . É^^S^^. Préserver de la pluie, la cape et^ Tépée étaient encore seules à la mode. Ménage nous raconte, dans son Ménagiatia,quétant avec M. de Beautru, vers i6S5, par unepluie battante, à la porte de THôtel de Bourgogne,survint un gentilhomme gascon sans manteau ettrès mouillé; le Gascon, voyant quon le et des manémémét et de jémémémét et et et et de « et de jémémémémémémét et et et et et et et et et et et et et et et et et A quoi M. de Beautru répliquavivement : « JE me mets de moitié avec vous. » Lombrelle de soie proprement dite apparut cepen-dant entre les Mains de femmes de qualité, à la pr
RM2CHFYYP–. l'ombrelle--le gant--le manchon; . ière grande :g^^^^. S - 132 - citoyenne française qui, de Paris, gouverne le mondeavec un despotisme si formidable, et contre lequel onne songe nullement à se révolter. Pour nous, qui, à propos dOmbrelle, de Gant etde Manchon, venons de jeter un coup dœil sur lemusée de cette souveraine, nous demeurons effrayé delinconcevable variété dobjets qui furent une heure leCe qui plaît aux femmes, et, si nnavus devemes teurs de toutes de toutes de toutes de toutes de toutes de toutes grand comme lunivers ou le plus vastedu monde, ainsi que sintulous tous les m
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