Manvel dv romainOù breviaire sont exposées clairement & methodiquement les raissons historiques & mystiques des heures canoniales . Samedy > & duroic iuf-quesau matin du Dimanche fuiuantroubien fi elle fe commençoit au matin du-die Dimanche, ceftoit en continuant lexeufne du famedy précédant. Et ainficomme ce Samedy & ce deftinez Dimanchecftoient conjointement à vncmefme célébration dOrdres , ils na-uoient au/fi quVn feul & mefme Office.Et delà vient 3 que mefmes à prefenclEuangile des Dimanches, qui fuiucncles Samedys des Quatre-Temps de TAd-uent & du Carefme neft autre que celuydefdits Sa

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Manvel dv breviaire romainOù sont exposées clairement & methodiquement les raissons historiques & mystiques des heures canoniales . Samedy > & duroic iuf-quesau matin du Dimanche fuiuantroubien fi elle fe commençoit au matin du-die Dimanche, ceftoit en continuant lexeufne du famedy précédant. Et ainficomme ce Samedy & ce Dimanchecftoient deftinez conjointement à vncmefme célébration dOrdres , ils na-uoient au/fi quVn feul & mefme Office.Et delà vient 3 que mefmes à prefenclEuangile des Dimanches, qui fuiucncles Samedys des Quatre-Temps de TAd-uent & du Carefme neft autre que celuydefdits Samedys. Micrologie lib* de Ec~cleftdfl. olferuAt. cap. 29. mw&& C4 4o Manuel du Breu. Romain] CHAPITRE IV. DES ANTIENNES MAIEVRES DE LADVENT. §. I. rQnefl~ce qtton entend par ces An*tiennes Maieures ? N entend ces Antiennes, quon chante au Magnificatpendant fept iours aupara-uant la veille de Noël, les-quelles commencent par O, & font ditesMaieures, dautant quon les double, quoyque loffice de la ferie foit fîmple. Cet O, comme difent les Autheurs^ tient plus deladmiration que de linuocation.. Partie IL Chapitre IV* ^x «S1»Ï8»8®8»8S»8»8S8S«»8S«»8»§. IL £htejl-ce que fignifient ces feptAntiennes Majeures i ELIes marquent lardent defîr desPères de lancienne Loy touchantla venue du Fils de Dieu en ce monde ;& cefl: pourquoy on double ces Antien-nes pour témoigner quils redoubloient& rcïteroient leurs prières i Dieu fur cefujet. Elles marquent encore les fepedons du Saint Efprit, dont Iefus-Chriftnous a fauorifez par fon Incarnation, &aueclefquels il nous guérie de toutes lesmifercs caufées par le péché originel.Honoritts in Gemma lib.^cap^. & Durandin Ration, lib. 6. cap. n. S. III. mile efi la fin de lEglife en chan-tant lAntienne O Sapientia * CEtte Antienne fe rapporte au dondu S. Efprit appelle Sapience. La 4* Manuel du Breu. Romain J vertu de ce don confifte en ce, quil nousfait connoitre Dieu profondement , &laimer comme noftrc dernière fin. E

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